Russie
Après avoir trouve notre quai nous sommes rejetés par la Provodniza qui me repete sans cesse niet niet en reluquant mon billet electronique. Un autre cerbere controle les passeports et dodine de la tête comme une poupée désarticulee mimant un niet. Le numéro du passeport d'anne n'est pas conforme au billet, elle nous conduit auprès d'une policières bardée de médailles avec 5 étoiles comme grade, chez nous un général d'armée au moins, qui consent à nous intégrer dans sa geole.
Deux mètres carré c'est plus petit qu'une cellule aux Baumettes surtout à quarte ! Mais il y a de la vodka en vente libre et nos co-détenus torse nu bardé de cicatrices et de tatouages nous font des discours en russe même si l'on comprend rien et ils éclatent d'un rire d'or quand ils ont des dents. Ils sont salement éméchés et nous font un peu peur.
La troisième nuit nous avons été protégés par notre matton qui à verrouillé notre wagon.
Ce qui est bien dans une prison roulante c'est que nous pouvons déambuler dans les couloirs, se faire des amis Beau, un anglais de 22 ans freestyle, Lena, une russe cherchant l'amour sur le mitic russe et passant une nuit dans un train pour rencontrer son lover et flipper de se faire rejeter, Nicolas, un autre russe représentant en pharmacie et parlant anglais et enfin Mateo de firrenza qui fait un tour du monde.
On a aussi le droit de faire des sorties sur le quai mais qu/aux stations ou le train s'arrête plus de 20 mn sinon c'est niet et le tortillard il s'arrette souvant mais 2mm.
Le plaisir de cette geole c'est pas la cantine, un désastre, on fait donc la popote dans les cellules, c'est plus drôle et sa cache les odeurs, il n'y a pas de douche, Momo il aime bien ça.
Non le bonheur c'est de laisser son esprit divaguer sur les paysages, surfer sur 5 fuseaux horaires et de passer son temps à remonter sa montre.
(Pas d accent, clavier russe...)
Stan
Deux mètres carré c'est plus petit qu'une cellule aux Baumettes surtout à quarte ! Mais il y a de la vodka en vente libre et nos co-détenus torse nu bardé de cicatrices et de tatouages nous font des discours en russe même si l'on comprend rien et ils éclatent d'un rire d'or quand ils ont des dents. Ils sont salement éméchés et nous font un peu peur.
La troisième nuit nous avons été protégés par notre matton qui à verrouillé notre wagon.
Ce qui est bien dans une prison roulante c'est que nous pouvons déambuler dans les couloirs, se faire des amis Beau, un anglais de 22 ans freestyle, Lena, une russe cherchant l'amour sur le mitic russe et passant une nuit dans un train pour rencontrer son lover et flipper de se faire rejeter, Nicolas, un autre russe représentant en pharmacie et parlant anglais et enfin Mateo de firrenza qui fait un tour du monde.
On a aussi le droit de faire des sorties sur le quai mais qu/aux stations ou le train s'arrête plus de 20 mn sinon c'est niet et le tortillard il s'arrette souvant mais 2mm.
Le plaisir de cette geole c'est pas la cantine, un désastre, on fait donc la popote dans les cellules, c'est plus drôle et sa cache les odeurs, il n'y a pas de douche, Momo il aime bien ça.
Non le bonheur c'est de laisser son esprit divaguer sur les paysages, surfer sur 5 fuseaux horaires et de passer son temps à remonter sa montre.
(Pas d accent, clavier russe...)
Stan
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